En écrivant hier, l’article sur les travaux de rénovation du toit de Isabelle, la maison principale, je me suis rendu compte que sur le blog il n’y avait rien de ce que nous avons fait avant 2018. Or, nous sommes arrivés en avril 2016 (au départ moi seul, puis Gaël, puis Kevin, puis Jean-Paul, le père de Gaël et enfin Claire et les enfants qui nous ont rejoint en juillet 2016 quand les travaux étaient suffisamment avancés pour pouvoir les accueillir décemment et que l’année scolaire était finie.) et nous avons fait beaucoup de choses pendant ces deux premières années. J’ai donc décidé de créer des galeries avec les images des différents « moments », chantiers et autres évènements.
Aujourd’hui, je reviens sur le chantier participatif que nous avons réalisé avec Eric Vergniaud, couvreur et grand méditant, propriétaire des Granges de la Hulotte où vous pourrez venir vous ressourcer et apprendre à méditer ou à devenir des as de la cohérence cardiaque dans un cadre magnifique : celui des Baronnies.
Mais fi de la pub et revenons à notre propos. Donc, en octobre 2016, après avoir assuré les travaux de la maison principale, la fermette appelée Gaston avait, à l’époque, pour seul toit qu’une bâche bleue sur quelques vieilles ardoises. Nous voulions alors en faire deux chambres reliées par un escalier à une cuisine et une salle de bains commune qui serait dédiée à l’accueil de nouveaux arrivants ou de passants. Finalement, cet espace deviendra la salle de soins du Parédé où Claire, principalement, mène des soins de toute sorte.
Pendant un mois et demi à 4, Gaël, son père, Eric et moi, nous avons mené ce chantier accompagnés par des aides bienvenues de passage. On y voit Fred, mon double éclairagiste qui a réalisé les lumières de tous mes spectacles, Marc, comédien que je côtoie depuis le Théâtre du Soleil, Raphaël qui m’a fait confiance et m’a permis d’entrer dans le monde de la technique au Festival de la Tour d’Aigues, Clémentine enfin, avec qui j’ai partagé de super moments sur les rencontres lycéennes de la Région PACA que nous encadrions. Mais laissons les images parler. 😉